De sa thèse sur le tétanos il garde une passion pour les vieilles tôles rouillées auxquelles il redonne vie et fonction.

Intègre un groupe de jazz ( big david’s band) et développe au sein de ce groupe des activités multimédias dans l’esprit du mouvement des « arts incohérents » du début du 20éme siècle .

Travaille le fer essentiellement pour le contact rude avec la matière, pour la dépense physique car chaque création est une lutte.

Tordre, redresser, découper et surtout rapprocher, souder, fondre et détourner les objets de leur destination.

La création est un exutoire, une forme d’expression, une thérapie.