Jago

Yago, manifeste d’un artiste libéré

Je veux être, une personne libre, agent de mon propre bonheur, anti-preneur et esclave d’un esprit créatif sans limite .
Je ne veux pas être un designer, un as du marketing, un consultant en média sociaux, un guru new age, un ascenseur social, un magicien digital, un consultant à la mode, une adresse prestigieuse, un assistant assisté, un apôtre de l’esthétisme, un maximisateur de profit, une tendance à la mode, une mode sans avenir, un avenir sans morale, un lanceur de trend , un blogueur sponsorisé, un reposteur écervelé, un banquier sans fond, la crypto du moment, un hashtag, un handle, une police hip, un hipster moralisateur, une affiche bien léchée ou un lécheur de bottes.
Je ne veux pas être tweeté, approuvé, cité, liké, linké, incorporé, listé ou programmé.
Je ne veux pas être une marque, un ambassadeur , un best- seller ou un hit oublié.
Je ne veux pas être l’entrepreneur autoproclamé de ma propre vanité.
Je ne veux pas écouter les employeurs, fondateurs, ambassadeurs, administrateurs, éditeurs, fashionistas ou consultants, les life coachs, les beaux parleurs, les frustrés ou les détenteurs de vérités banales.
 
Incuriosité, fruit de la paresse mentale …Ma voie est ailleurs!
 
Exubérance de la Dolce Vita italienne, fusion spontanée de 2 esprits qui se rencontrent, le spleen ressourçant, les doutes rassurants, le décalage salvateur, la spontanéité d’un sourire ou le panache assumé , tels sont mes carburants.
 
Je suis Crans sur Rome, un Croate à Bali, un double maître en simplification, un agent provocateur, assembleur de mots, un téléchargement illégal, un sculpteur immatériel, un saut périlleux dans l’inconnu, un touche-à-tout autodidacte et créateur jamais satisfait